L’école, un lieu de savoir par excellence est devenue de nos jours un nid de dépravation de mœurs. Exhibitionnisme, perversion dictent leur loi dans les collèges et universités aussi bien publics que privés. Plusieurs vidéos où on voit les apprenants des écoles de la place en plein ébats sexuels font le tour des réseaux sociaux.
Recrudescence de vidéos érotiques des élèves
Embrassade, touche des seins, des fesses, pipe, rapports sexuels dignes d’un film de l’industrie pornographique s’observent dans nos établissements scolaires. Ces vidéos sortent à une fréquence on l’on se demande si les élèves ne font plus que ça dans les écoles. Des apprenants se complaisent à faire des séquences avec des postures pas très catholiques dans leurs uniformes. Presque toutes les semaines on a droit à la sortie d’une nouvelle sextape. Ainsi faisant ils jettent de l’opprobre sur leur établissement et désacralisent le caractère sacré de l’école.
Les responsabilités
Les responsabilités sont partagées. La plus grande responsabilité incombe aux élèves eux-mêmes, ils doivent savoir qu’en s’adonnant à ces pratiques ils mettent en péril leurs avenirs. Exclusion, maladie sexuellement transmissible, perte d’opportunité de travail ou de mariage sont autant de risques encourus. Certains parents ont démissionné de leur mission d’éducateur, ils se contentent juste de subvenir aux besoins laissant ainsi l’éducation de leurs enfants aux mains des personnes de peu de moralité, ils sont souvent absents pour des raisons professionnelles et n’échangent pas sur la sexualité avec les enfants. D’autres parents par maque de discrétion s’amourachent devant les enfants. Les enseignants ont aussi une part de responsabilité. Un enseignant est d’abord un éducateur, mais beaucoup se dérogent et se contentent juste de donner des cours. Il urge donc que l’État prenne ses responsabilités en punissant les auteurs de ces pratiques qui n’honorent pas l’école béninoise.